Depuis quelques années, Bruxelles note une recrudescence de cas de Syndrome de Diogène. S’agit-il d’un problème propre à Bruxelles ? Définition.
Le syndrome de Diogène est défini par : La syllogomanie est définie comme étant un trouble obsessionnel compulsif caractérisant l’individu qui en souffre par une profonde soif d’accumuler tout un tas de reste utile ou pas. Cette soif amène l’individu qui en souffre à vivre dans une déprédation de son cadre de vie. L’incurie quant à elle, est caractérisée par une absence totale d’hygiène corporelle. Ce n’est pas un syndrome propre à Bruxelles, mais à toute une classe de la population. Chaque ville est confrontée à ce souci de salubrité publique.
Il y a plusieurs sortes de syndrome de Diogène
Le syndrome de Diogène est le nom général associé à une problématique. Dans cette problématique, l’on retrouve tout d’abord le type actif. La personne active, recherche à accumuler toutes des choses qu’elle a pu récupérer dans la rue. La personne passive quant à elle est devenue de plus en plus négligentes avec elle-même provocant une accumulation d’objets, de détritus voir de déjections.
Le syndrome de Diogène touche notamment des personnes âgées de plus de 60 ans de tout milieu social confondu ; Il survient généralement après une rupture sentimentale comme la disparition d’un compagnon ou par un départ à la pension. Ces hommes sombrent peu à peu dans une dépression et ils se mettent à combler le vide autour d’eux par l’amoncellement d’objets ou de déchets.
De nos jours, chacune des grandes villes a mis au point un protocole visant à venir en aide et à assister les personnes atteintes du syndrome de Diogène. Il existe plusieurs partenariats entre les différents services de la ville et les sociétés spécifiques dans le nettoyage Diogène. Une assistance psychiatrique et une démarche d’ouverture sociale est aussi réalisée dans les cas les plus pointus. Les services sociaux et associations ont aussi reçus pour mission, la détection, le signalement et l’assistance de personnes souffrantes afin de détecter au plus tôt les personnes en souffrance. La manœuvre consistant à recréer un tissu social autour du patient, nettoyer le logement de celui-ci et avoir un suivi sur le long terme de la personne dans le but de vérifier une éventuelle rechute.